Tuesday, February 20, 2007
J'aime cette traduction d'Alain Gresh d'un extrait du discours de Joumblat le 14 fevrier:
Le mini commentaire qui suit n'est pas inutile non plus
« Oh tyran de Damas, ô toi le singe inconnu de la nature, le serpent dont tous les serpents ont peur, toi le requin vomi par l’océan, toi la bête sauvage du désert, toi la créature qui est seulement une moitié d’homme, toi qui est le produit d’Israël au détriment des cadavres du Liban-Sud, toi le menteur et l’archi-tueur, toi le criminel qui verse le sang au Liban et en Syrie, nous reprenons sur toi les mots du grand poète Nizar Qabani : "Tous les vingt ans vient un homme armé pour massacrer l’unité dans le berceau et pour tuer les rêves". » Cette violence de la rhétorique n’a pas empêché le parti de Joumblat – comme tous les partis libanais, à l’exception de celui de Michel Aoun – de collaborer avec le régime syrien durant des décennies.
Le mini commentaire qui suit n'est pas inutile non plus
« Oh tyran de Damas, ô toi le singe inconnu de la nature, le serpent dont tous les serpents ont peur, toi le requin vomi par l’océan, toi la bête sauvage du désert, toi la créature qui est seulement une moitié d’homme, toi qui est le produit d’Israël au détriment des cadavres du Liban-Sud, toi le menteur et l’archi-tueur, toi le criminel qui verse le sang au Liban et en Syrie, nous reprenons sur toi les mots du grand poète Nizar Qabani : "Tous les vingt ans vient un homme armé pour massacrer l’unité dans le berceau et pour tuer les rêves". » Cette violence de la rhétorique n’a pas empêché le parti de Joumblat – comme tous les partis libanais, à l’exception de celui de Michel Aoun – de collaborer avec le régime syrien durant des décennies.